mardi 14 février 2012

L'industrie de la fourrure en Chine

Une situation alarmante qui me pince le coeur. 

Il n'y a pas de pénalités pour maltraiter les animaux sur les fermes à fourrure en Chine, qui est le premier exportateur mondial de fourrures, en fournissant plus de la moitié des vêtements en fourrure finis importés pour la vente aux États-Unis. Les renards, les visons, lapins, raton-laveurs, chiens, chats et autres animaux sont entassés dans des cages grillagées extérieures, sans abri contre la pluie battante, les nuits de gel, ou le soleil brûlant.

Les femelles porteuses de petits sont entraînées de façons brutales et forcées au confinement intense et n'ont nulle part où se cacher tout en donnant naissance. Elles tuent souvent leurs bébés après la remise de portées pour leur éviter le mal. Les maladies et les blessures sont monnaie courante et les animaux souffrant d'anxiété induite par la psychose mâchent leurs propres membres et se jetent à plusieurs reprises contre les barreaux de la cage.


Avant d’être dépouillés vivants, les animaux sont arrachés de leurs cages, jetés à terre et matraqués. Les enquêteurs infiltrés de Suisse des Animaux Protection / EAST International ont constaté que de nombreux animaux sont encore vivants et luttaient désespérément lorsque des travailleurs les retournaient sur le dos ou les suspendaient par les jambes ou les queues pour les peaux.


Quand ils commencent à couper la peau et la fourrure de la jambe d'un animal, le coup frappe les membres des animaux et ils se tordent. Les travailleurs sectionnent les cous et les têtes d'animaux qui luttent trop dur pour permettre une coupe nette.


Lorsque la fourrure est finalement décollée des têtes des animaux, leurs organes sanglants sont jetés sur un tas de ceux qui les ont précédés. Certains sont encore en vie, la respiration par coups en haillons fait place. Certains des cœurs des animaux sont toujours en vie en fouettant cinq à 10 minutes après qu'ils soient dépecés. Un enquêteur a enregistré un chien sans peau sur le tas de carcasses qui a eu assez de force pour relever sa tête ensanglantée et regarder dans la caméra.




Voilà une situation que je veux dénoncer

2 commentaires:

  1. Excellent Marie-Pier, tu ramasses de l'info, tu suis une piste, plusieurs mais toujours avec la même sensibilité pour ton sujet, en variant les angles... J'en apprends beaucoup sur ton sujet en même temps.
    On en parle demain

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  2. Voici les références à Zac Gough pour les vidéos autour de l'idée du coyotte

    http://www.youtube.com/watch?v=7CJBES-HFvA

    http://www.youtube.com/watch?v=0O5CwMLPdqQ

    http://www.youtube.com/watch?v=YryD42NHgro

    http://www.youtube.com/watch?v=0UDXdpu6nYo

    http://www.youtube.com/watch?v=XrrJGyacJY8

    Si tu veux échanger avec lui, je te donnerai ses coordonnées courriel.

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